Julie et l'amour de sa vie....

Julie est agée de 17 ans. Elle est grande, avec de longs cheveux bruns ondulés et des yeux verts émeraude.
Ses parents sont décédés dans un accident de voiture lorsqu'elle avait 13 ans. Depuis elle a été recueillit dans une famille où elle a appris à connaître son nouveau frère. Depuis Julie et Jim sont inséparables. Mais Thérèse et Jean-Luc (les parents de la famille d'accueil de Julie) sont en instance de divorce. Le juge a décréter que Julie partirait avec son père alors que Jim lui serait avec sa mère.


Mardi, 14h00 : Tribunal des divorces à Paris.

? : Bien, Julie ? C'est toi qui commencera à présenter tes voeux. Tu veut bien venir à la barre s'il te plaît ?

Julie se leva sous l'oeil de Jim, de sa nouvelle mère et de son nouveau père, et elle se dirigea à la barre.

? : Julie, en tant que juge, je dois te demandé de faire un choix qui s'avisera peut-être difficile pour toi. J'aimerai que tu choisisse avec qui tu voudrais vivre. Je te laisse un peu de temps pour réfléchir et je t'écoute.

Julie leva la tête. Elle regarder tout à tour son père, Jim, sa mère, le juge, le publie.
Ses lèvres remuèrent mais aucun son ne sortait.

Julie : Je...

? : Oui ?

Julie : J'ai toujours rêver d'une nouvelle grande famille depuis la mort de mes parents. Je n'avait jamais eu de frère et la vie m'en à donenr un que j'adore et que j'aime plus que tout. Tout ce que je veut c'est être avec Jim. Après le choix revient à vous en ce qui concerne avec qui je serait. Mais ne nous séparez pas s'il vous plait..

Une larme coula sur la joue à Julie et elle alla se rasseoir.
Le juge sortit avec ses avocats et ses assitants et ils ne revinrent que 20 min plus tard.

? : La décison à été prise elle est irévocable ! Jim tu ira vivre avec ta mère alors que Julie, elle ira chez son père.

Toute la salle se tue. Jim chercher le visage de Julie mais celle-ci ne releva pas la tête. Des larmes coulaient en abondance. Puis d'un coup Julie se leva brusquement et sortit de la salle den courant. Jim la suivit de près.



Bon j'espère que cette histoire commune va avoir une suite ^^

Julie s'assit sur les marches, devant l'entrée du tribunal. Jim s'assit près d'elle et l'entoura de ses bras.

Julie : On se verra plus !! Papa veut renprendre la maison en bord de mer, et maman veut rester ici... là où je vais ête c'est à 1000 km d'ici !! C'est avec toi que je veux être !!

Jim : Moi aussi, je veux rester avec toi... tu sais bien que je t'aime...

Il lui caressa la joue.

Julie : Moi aussi je t'aime... je supporterais pas de ne plus te voir... même si on pourra s'appeler, et tout, mais c'est pas pareil !! Je veux habiter avec toi, pas avec lui !!

Jim l'embrassa doucement sur les lèvres. Elle passa ses bras autour du coup de Jim.

Julie : J'irai pas là bas... je resterai avec toi... je me fous de ce qu'ils ont décidés...

Puis elle l'embrassa encore.Leurs parents arrivèrent quelques minutes après. Julie se retourna, et les foudroya du regard. Ils n'allaient pas les séparer... si sa mère n'avait pas trompé son père, ils ne seraient jamais allés devant le tribunal pour savoir qui obtiendrait leur garde...

Julie se leva d'un bond.

Julie : Je vous déteste ! J'aurai encore préféré mourir avec mes parents que d'être avec vous.

Thérèse : Julie ! Tu n'as pas le droit de dire sa ! C'est une décision que l'on a prise tous les deux et tu n'a rien a avoir la dedans ! Maintenant on rentre. Toi et Jean-Luc vous partez après demain et vous devez commençer à emballez vos affaires.

Jim se leva pris Julie par les épaules et ils se dirigèrent vers la voiture.
Le calme règna dans la voiture durant le tragès. Quand la voiture s'arrêta devant la maison, Julie sortie en trombe, entra dans la maison et alla s'enfermer dans sa chambre.

Jim : J'espère que vous êtes contents de nous séparez. Vous êtes heureux hein ? Elle a déjà beaucoup souffert mais vous en rajouter une louche ! C'est dégueulasse de faire sa à Julie.

Sur ces mots Jim sortit mais lui ne pris pas la direction de la maison. Il alla plutôt vers le parc.

La famille Housman était très riche. Ils habitaient dans une grande demeure qui surplomber un magnifique parc horné de multitude de fleurs.
Au bout du parc se trouvé une grande marre avec une petite barque.

Jim monta dans la barque, et rama. Il se souvenait de quand ils étaient plus jeunes, Julie et lui, et qu'il l'emmenait dans cette mare, se promener en barque. Des larmes roulèrent sur ses joues.

?? : Hey... tu m'as déjà oubliée...

Jim se retourna d'un coup en entendant la voix de Julie. Il revint au bord, et elle monta avec lui.

Jim : Excuse moi, je...

Julie : Je savais que tu étais ici. Je viens d'avoir une idée...

Jim : Oui ?

Julie : Je vais fuguer. Je vais aller chez Myllie, je vais lui dire que je me suis engueulée avec mes parents. Ensuite je chercherai un ptit boulot, et je m'achèterais un ptit appart. Comme ça on pourra se voir... je sais, c'est idiot, mais je suis triste sans toi, rien qu'a y penser, j'ai envi de pleurer...

Elle éclata en sanglots, et Jim la prit dans ses bras. Elle leva la tête, l'embrassa, tandis qu'il lui caressait le dos... soudain, ils sentirent l'eau glacée sous leur pied, elle montait le long de leur jambes... la barque, au milieu de la mare profonde, dans une eau gelée, coulait...

Jim : On va peut-être sortir de là non ?!

Julie (un petite rire) : Tant pis pour mes fringues ^^ On sera mouillé !

Jim (s'approcha de l'oreille) : Surtout que tu es très jolie quand tu es mouillée.

Julie rougie. Se leva et déséquilibrée tomba dans la marre.

Jim (hilare) : Tu voulais rejoindre les grenouille plus vite que prévu je me trompe ?!

Julie : Très drôle !

Julie se leva toute tromper et fit chaviré le reste de la barque pour que Jim tombe à son tour.

Jim (refesant surface) : Hey ! C'est pas du jeu !

Sans suivi une grande bataille d'eau sur les yeux de Jean-Luc et de Thérèse qui était dans le salon et qui voyait tout.

Thérèse : Que vas t-on faire Jean-Luc ?!

Jean-Luc : Je ne sais pas... mais tu n'as pas vu comment elle t'a parlé tout à l'heure ? Je pense que c'est le mieux de les séparer.

Thérèse : Mais ils s'aiment. Rappelle toi, qu'aurions nous fait si on nous aurait séparés, quand on était encore jeune ? Ils ont le droit de vivre leur amour...

Jean-Luc : Fait ce que tu veux, toi, si tu veux garder cette petite peste !

Thérèse : Je ne dis pas de garder les deux, mais que tu restes ici, que tu ne t'en aille pas là bas !!

Jean-Luc : Ma décision est déjà prise. Rien ni personne ne me fera changer d'avis.

Thérèse : Même pas ta mère ?

Jean-Luc, criant : Laisse ma mère en dehors de tout ça !!!



Le lendemain matin...

Jean-Luc : Allez, viens, Julie. Nous partons. Dis aurevoir à ton frère (insiste sur le mot "frère") et à ta mère.

Julie : Je pars pas. Je reste ici.

Thérèse : ...

Jim : ...

Jean-Luc l'attrappa par le bras et l'emmena de force de l'autre côté de la route, où était garée sa voiture. Il la lacha pour ouvrir la voiture, mais Julie traversa la route...

Jim : NOOOOOOOOOOOONNN !!! JUUUULIIIIIIIIIE !!!

... en même temps, une voiture passait... et prit Julie de plein fouet. Celle ci retomba sur le sol, tandis que le conducteur s'éloignait. Jim courut vers Julie et la prit dans ses bras en pleurant.

Jim : Juliiiie, noooon... (il se retourna vers Jean-Luc et Thérèse) Faite quelque chose, me*** !!!

Thérèse rentra à l'intérieur et appela une ambulance, qui arriva quelques minutes après, et emmena Julie, inconsciente, mais vivante...



6 heures après, à l'hopital...

Le chirurgien s'avança dans la salle d'attente, et demanda à Thérèse et Jim de le suivre dans son bureau. Jim pleurait en silence. Il s'assirent sur les 2 chaise devant le bureau du chirurgien.

Chirurgien : Il y a une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne : l'opération est une réussite. La moins bonne : elle aura des troubles de mémoire. Cet à dire qu'elle ne se souviendra plus de vous. Elle n'aura aucun sentiment envers vous, pour le moment, il va falloir qu'elle réapprène à vous connaitre. Elle ne sait plus qui vous êtes.

Jim ouvra la porte et pénétra dans la chambre de Julie. En la voyant allangé sur le lit, avec tous ces toyaus, il ne put retenir ses larmes. IL s'approcha doucement, lui frôla la main de ses doigts et l'embrassa sur le front.
Jim alla s'asseoir et il passa des heures à la regarder. Puis il s'endormit.
A son réveil, le medecin était là avec ses parents. Julie était assise sur son lit et elle n'avait plus de tuyaus.

? : Tiens, le prince charmant se réveille on diré !

Jim : Humm ?

? : Approche toi.

Jim s'approcha du lit sans quitter Julie des yeux.

Julie : Bonjour ! Jim, c'est sa ?

Jim : Je vois que tu as retrouver la pleine forme ! Sa fait plaisir. Mais te moque pas trop d emoi hein ^^

Julie : je ne me moque pas. Tu es qui ?!

Jim : hein ?! Mais Julie enfin c'est moi !

? : Jim, Julie a des troubles des mémoires. Elle ne se souvient plus de vous ni de rien.

Jim : Non !

Julie : Pourquoi, je devrais te connaitre ?

Jim : Oui...

Des larmes roulèrent sur les joues de Jim.

Quelqu'un frappa à la porte, et entra. C'était Jean-Luc. Il s'approcha de Julie, se tourna vers Jim, et lui jetta un regard noir. Puis il prit la main de Julie.

J-L : Tu viens, Julie ? Il est temps de partir.

Julie : Vous êtes qui ?

J-L : Ton père. Nous devons rentrer.

Julie : D'accord.

Julie descendit du lit et s'approcha de Jim.

Julie : Je dois y aller... j'espère qu'on se reverra !

Jim : Ne t'inquiète pas, on se reverra... on se reverra bientôt...

Julie sourit, l'embrassa sur la joue et suivit J-L. Ils montèrent dans la voiture, et au bout d'une demi-journée, ils étaient enfin arrivés. J-L emmena Julie dans sa chambre.

Quelques semaines après, alors que Julie avait repris ses études, elle alla chercher le courier, comme d'habitude. Et elle trouva une lettre pour elle. Elle rentra à la maison, déposa les autres sur la table, et monta dans sa chambre lire la sienne.

Julie,

Je suis désolé pour ton accident, même si ce n'est pas de ma faute. Je sais, tu ne te rappelle plus de moi, mais je tiens à te dire que tu étais ma demi-soeur et que je t'aime... mais pas comme on aime sa soeur... Tu me manque, tous les jours je pense à toi, je suis resté à la maison avec maman, mais j'aurai préféré partir avec toi. Mais ce n'est pas moi qui ait choisi. On se reverra, ne t'inquiète pas, et même si toi tu ne m'aime plus, moi je t'aime, et je ne t'oublierais pas.
J'espère que ça se passe bien à la maison avec papa, c'est un gos c*n, désolé de dire ça, mais il a profoté de ton accident pour nous séparer. Tu ne voulais pas partir avec lui, mais tu as eu cet accident et il t'as emmené avec lui. On se reverra, ne t'inquiète pas.

Je t'aime.
Jim

Julie n'en revenait pas. Devait-elle croire Jim et donc détester son père ? Ou bien ignorer Jim et rester avec son père ?
Elle devait mener son enquête.
Elle descendit de sa chambre et trouva son père dans son bureau.

J-l : Salut ma fille !

Julie : Dit Papa, tu ne m'a jamais parler de mon passé, ni de mon accident, ni de maman. Et puis de Jim. Pourquoi ?

J-L : Tu n'a rien à savoir (furieu) Le passé c'est le passé !

Julie : Mais j'ai le droit de savoir !

J-L : Non !

Julie sortit de la pièce, monta dans sa chambre qu'elle ferma à clé. Elle mit le son de sa musique à fond et elle sortit du papier à lettre et un stylo. Elle s'installa à son bureau et se mit à écrire.


Cher Jim,
Devrais-je te croire ? C'est vrai je ne te connais pas, et tu me révèle que c'est de la faute de mon père que je suis là. Mais que c'est t-il passé ? J'aimerai que l'on se voit, ou que l'on se téléphone ou même pourquoi pas discuter par ordinateur. Il faut que tu me raconte tout. Je veut tous savoir de mon passé ! Et je pense que tu peut m'y aider.
En attendant ta réponse avec impatience !

Une semaine plus tard, Julie n'avait toujours pas reçu de lettre. Elle l'attendait, mais, pensant que Jim n'avait pas voulu lui répondre, elle n'espèrait plus la reçevoir.

Deux semaines était à présent passées après que Julie ait posté sa réponce. Elle balayait dans le bureau à son père, comme tous les jours, et un bout de papier bleu attira son attention : c'étairt la même couleur que l'enveloppe de Jim. Elle s'approcha du bureau, et poussa les feuilles qui étaient sencées le cacher. C'était bien une enveloppe qu'elle tenait dans ses mains. Une lettre pour elle, et son père ne lui avait pas donné. Elle l'ouvrit, et lu la lettre à l'intérieur.


Julie,
C'est encore moi, Jim. Je veux bien qu'on se voit... mais j'habite à 1000km de chez toi... j'essaierai de partir en cachette. Ne t'inquiète pas, je t'aiderais, je te dirai tout ce que tu veux savoir sur ton passé. Dis moi quand est ce que je pourrai venir, je prendrai une chambre d'hotel et je resterai quelques jours.
Moi aussi j'attends ta lettre avec impatience.

Je t'aime, gros bisous
Jim

Alors comme ça, son père avait détourné son courrier ! Pourquoi avait il fait ça ? Avait il peur qu'elle rencontre Julie ? Pourquoi ?

Son père n'était pas là aujourd'hui, elle monta donc dans sa chambre et écrivit sa lettre sans fermer la porte à clé.


Jim,
Je suis contente que tu accepte de me rencontrer. Tu pourrais venir la semaine prochaine, mon père n'est pas là, il partira pour un voyage d'affaires, il me l'a dit. Comme ça tu pourras même dormir à la maison si tu veux. Je pense que tu me dis la vérité sur mon père : je n'ai pas pu te répondre avant parce qu'il avait caché ta lettre. Et pourquoi a t il fait ça ? A t il peur que tu me dise quelque chose sur mon passé ?
Merci de vouloir m'aider, c'est très gentil.

Gros bisous
Julie

Elle sortit de la maison, sa lettre à la main, et alla la déposer à la poste, puis elle revint chez elle.

[ Désolé j'ai été un peu longue pour la suite ;) ]

JUlie reprit son activité jusqu'à ce que sont père rentre.

J-L : Je suis rentré !

Julie : Bonjour papa !

J-L : Alors, qu'à tu fait de ta journée ? (lui dit-il en rentrant dans son bureau)

Julie : Pas grand chose. J'aimerai sortir une petite heure j'ai quelques courses à faire. Cela ne te gène pas ?

J-L : Non pas du tout, vazy !

Julie : Merciiii !


Julie alla déposer une bise sur la joue de son père et monta dans sa chambre pour se changer. Lorqu'elle déscendit, elle découvrit un père furieu.

J-L : Pour qui tu te prens à fouiller dans mes affaires ? C'est quoi sa è_é

Jean-Luc lui montra la lettre déchicter que Julie avait remie en place.

Julie : Cette lettre m'été adressée et toi tu me la cachée !

J-L : C'était pour ton bien ! Je suis ton père nom de Dieu, tu dois faire ce que je te dis !

Julie : Ma vie privée ne te regarde pas ! Tu n'a pas à me cacher mon passé, ou ne pas me donner les lettres qui em sont adressée ! Mainteant je sors que tu le veuille ou non !

J-L : Tu reste ici !

Julie n'en fit qu'à sa tête. Elle sortie et claqua la porte derrière elle. Elle partie à pieds en direction du centre ville...

[pas grave]

Elle s'assit à la terrasse d'un café et commande un café au lait, qu'elle but sans se presser. Elle en commanda un deuxième, et après être partie, elle alla dans un hotel et demanda une chambre. Elle paya avec de l'argent que son père lui avait donné, quelques semaines plus tôt. Elle s'assit sur le lit, et ferma les yeux. Elle n'était plus une gamine, et après y avoir réfléchi dans le café, elle décida de ne plus revenir chez son père. Il voulait lui cacher la vérité sur son passé ? Et bien il ne la reverrait plus. Et pourquoi n'avait elle pas de mère ? Jim prétendait qu'il vivait avec leur mère. Et si c'était vrai ? Julie croyait Jim, à présent...

Après avoir dormi toute la nuit, elle se leva, s'habilla, et partit acheter le journal. Elle voulait se trouver un petit boulot, parce qu'elle n'aurait bientôt plus d'argent pour continuer à payer l'hôtel. Elle revint dans sa chambre, s'allongea sur le lit, et lu les propositions de travail. Mais il n'y en avait aucune...

Le jour où Jim devait venir arriva rapidement, et Julie avait toujours assez d'argent pour l'hôtel. La receptioniste, qui avait remarqué que ce n'était qu'une adolescente, avait baissé le prix de sa chambre. Mais Julie était toute contente ce jour là... devinez pourquoi...
Elle avait gardé une clé de la maison de son père,et comme il était en voyage, il n'était plus chez lui... alors Julie avait décidé d'y retourner...

Alors qu'elle venait d'arriver, elle vit Jim, qui attendait qu'on lui ouvre... Elle se précipita vers lui, lui embrassa les 2 joues, ouvrit la porte et entra à l'intérieur. Elle sortit son manteau, l'accrocha au porte-manteau et s'assit sur le canapé. Elle tapota la place à côté d'elle, en demandant à Jim si il voulait s'asseoir.